L’organisation de cette becerrada laissait un peu à désirer: Vic aurait pu se payer un eral de plus ou un becerriste de plus. Le titre est allé au plus capé, Samuel Navalon, mais la meilleure prestation, devant le meilleur becerro est celle de Martin Morilla. El Quitos a montré l’étendue de son répertoire, mais doit encore travailler.
Amicalement,
Jean-Yves Blouin.