José Garrida : au 4, perd du terrain sur les deux cornes, mais en musique, petite pétition minoritaire, une oreille.
Clemente : au 5, une épée caída et delantera, deux oreilles, non président, non.
Adriano Salenc : au 6, recule entre chaque passe, excite le public en fin de faena par des cris, desplante mal venu, deux oreilles pour qu’il n’y est pas de jaloux.
La morale de l’histoire, deux aficionados avertis ne perçoivent pas la même chose. Vive la controverse.
Daniel Garipuy