Des Zalduendo dont aucun ne mérite le nom de taureau de combat, faibles, sans charge ni le moindre soupçon de caste.
Que dire alors des toreros ? Castella écourte sa faena face à un premier invalide, et sous une pluie battante ne peut faire guère plus au quatrième. Emilio de Justo en permanence sur le voyage obtient une et une oreille, insignifiantes. Gines Marín au sixième nous réveille avec deux véroniques et des tentatives croisées à gauches, mais trop tard, le taureau n’est déjà plus là. Après les deux oreilles de De Justo, difficile de ne pas en accorder une. Pour moi un rappel aurait suffi.