Des Saltillo décevants dans l’ensemble on retiendra le 2, un vrai danger public, devant qui se mettra avec courage et sincérité Damian Castaño. A la pique les taureaux s’élancent et poussent parfois sur la première mais hésitent trop sur les suivantes. L’ADAC avec raison ne décernera pas le prix du meilleur picador.
Le 5, un negro haut sur pattes, qui détonne, sera changé pour une boiterie. Fallait-il le faire ? D’autant que le sobrero de Los Maños, cornicorto, se couchera dès la première passe.
Sanchez Vara qui toréa fuera de cacho et loin, s’autorisera une vuelta que personne ne demandait. Maxime Solera ne montrera rien en dehors de sa bonne volonté.